Nintendo Options

Devant l'inculture de certains () il me parait nécessaire de consacrer un topic à l'une des entreprises qui ont fait le jeu vidéo (avec Sega, Capcom, Konami,...) : Nintendo (les infos suivantes proviennent de wikipedia).

Entreprise fondée en 1889, à l'origine productrice de jeux de cartes japonais, elle s'est lancée dans le jeu vidéo au début des années 1980 avec le (la) Nintendo Entertainment System (Famicom en japonais).
Cette console a été présente dans un foyer américain et japonais sur trois (!) à la fin des années 80. Elle représente alors 90% du marché des consoles de salon.

En 1989, sort la GameBoy accompagnée d'un jeu légendaire : Tetris (jeu dont Nintendo a obtenu les droits à cette époque, Tetris depuis appartient à Nintendo). Opposée à des consoles aux meilleures performances (puissance, couleurs) mais lourdes, sans autonomie et chère, la GameBoy s'impose facilement. En fin de carrière la Game Boy s'est vendue à 110 millions d'exemplaire dans le monde environ (la console la plus vendues de tous les temps étant la PS2 avec 120 millions).

En 1990 sort la Super Nintendo (Super Famicom). Après un départ difficile, elle parvient à dominer le marché grâce à Super Mario Bros. 3 (15 millions de jeu vendus) et grâce à sa supériorité technique sur ses concurrentes (le Mode 7 qui permet de gérer facilement des plans 2D qui s'intersectent, pour simuler une pseudo 3D : F-Zero en est le parfait exemple). Une extension avec lecteur CD-Rom fabriquée par Sony est annoncée, mais Sony se montrant trop gourmand aux yeux de Nintendo cette extension est annulée (elle sera à la base de la PlayStation). Certains jeux intègrent même un processeur spécialisé afin de fournir des jeux réellement en 3D polygonale : Star Fox. A la sortie de la PlayStation, la Super Nintendo a environ 75% du marché des consoles de salon.

En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square).

Evènement imprévisible en 1997 : Nintendo sort un petit RPG Pocket Monster qui s'arrache dans le monde entier, booste la vente de la GameBoy et fournit une sorte de rente depuis à Nintendo lui permettant de réaliser chaque année des bénéfices records même lorsque ses consoles de salon sont des demi-échecs.

En 2001 sort la Game Boy Advance, qui succède à la Game Boy et ses différentes variations.

En 2001 également sort la GameCube, qui marque la fin des cartouches (trop chères à produire et trop exigües) sur console de salon. Les jeux les plus vendus sur cette console sont : Animal Crossing, et surtout Super Smash Bros Melee (jeu de combat où le but est de faire tomber l'adversaire de la plate-forme) qui se vend à presque 7 millions d'exemplaires dans le monde.

Fin 2004 sort la DS, qui "tue" la Game Boy Advance mais permet de répondre à la sortie de la console portable de Sony : la PSP. Caractéristique principale de cette console portable : deux écrans dont un tactile, pilotable au stylet. Ceci permet de concevoir des jeux et des logiciels complètement inédits. Elle embarque également une puce Wifi pour le jeu à plusieurs. En Janvier 2006, Nintendo sort une version relookée parfaite de la DS : la DS lite. Elle sort avec New Super Mario Bros, version relooké des premiers Mario Bros (ce jeu vient de dépasser les 5 millions d'exemplaires vendus dans le monde).

Le 8 Décembre 2006 sort la Wii. Compatible avec les jeux Game Cube, et offrant la possibilité d'acheter une palanquée d'anciens jeux (NES, SNES, N64, Megadrive, Commodore 64, ...) sur la Console Virtuelle (boutique en ligne), sa principale caractéristique est sa manette. "Elle se présente sous la forme d'une télécommande. C'est un engin de pointage qui détecte les mouvements. Cette manette peut interpréter les déplacements diagonaux, d'éloignement et de rapprochement, ainsi que les rotations. Elle contient aussi un haut-parleur et un vibreur. Des extensions peuvent être attachées à la manette, comme un joystick (appelé « nunchuk », qui détecte aussi les mouvements) et qui est vendu avec la console."

Aujourd'hui les consoles Nintendo encore en vente sont :
- la DS Lite : 55 millions de consoles vendues, 67% du marché des consoles portables
- la Wii : 14 millions de consoles vendues, 42% du marché des consoles de salon

Ce message a été modifié par atarxerxes - 19 Nov 2007, 23:45.

Prochain post : présentation de la saga Zelda ! (dès que j'ai le temps)

C'est beau tout ça Continue ! Après tu fais quoi ? Metroid Prime ?

Non Resident Evil encore mieux. Je peux essayer d'en faire une partie mais je n'ai jamais joué au 1, ou très peu, finis le 2, le 3, code Véronica sur DreamCast et jamais joué aux autres .

Grosse moule Resident Evil n'est pas un titre exclusivement Nintendo ( il a fait ses débuts sur la Playstation ).

Pokemon ?

Resident Evil c'est Capcom

En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square).

Raah la Nintendo 64, pour moi la meilleure console tout catégorie confondue Sinon tu oublies les jeux énormissimes de Rare quand tu dis que seul Nintendo pousse la console dans ses retranchements... GoldenEye, Perfect Dark, Banjo & Kazzoie, Conker, Donkey Kong 64 ou même Jet Force Gemini ... c'est quoi tout ça

mais je n'ai jamais joué au 1

QUOI ???????
Mais c'est inadmissible, que dis-je intolérable !!!!

Il s'agit du meilleur de la série (après RE4, of course), du plus abouti au niveau du suspence, de l'histoire et des ennemis (putain de "hunter", la première fois qu'il débarque derrière toi, après la courte cinématique...).

En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square).

Raah la Nintendo 64, pour moi la meilleure console tout catégorie confondue Sinon tu oublies les jeux énormissimes de Rare quand tu dis que seul Nintendo pousse la console dans ses retranchements... GoldenEye, Perfect Dark, Banjo & Kazzoie, Conker, Donkey Kong 64 ou même Jet Force Gemini ... c'est quoi tout ça

Rare était un studio de Nintendo à l'époque, CQFD

En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square).

Raah la Nintendo 64, pour moi la meilleure console tout catégorie confondue Sinon tu oublies les jeux énormissimes de Rare quand tu dis que seul Nintendo pousse la console dans ses retranchements... GoldenEye, Perfect Dark, Banjo & Kazzoie, Conker, Donkey Kong 64 ou même Jet Force Gemini ... c'est quoi tout ça

Mario Kart 64

(sources : wikipedia, le palais de Zelda, puissance-Zelda, nintendo forever)
LE jeu d'action-aventure, avec un poil de RPG (évolution du personnage) mais sans les combats chiatiques à la FF : The Legend of Zelda　(ゼルダの伝説)
Créateur : 先制 Shigeru Miyamoto.

La série est composée de 12 épisodes à la chronologie aléatoire (c'est-à-dire qu'elle ne correspond pas à l'ordre de sortie des jeux). Voilà une proposition intéressante de chronologie globale des différents Zelda sortis :
(détails et argumentaire ici). J'en avais trouvé une autre presque identique à l'exception qu'elle reprenait les deux épisodes siamois sur GBA, pour les placer chacun sur une des bifurcation temporelle, au même niveau chronologique (ce que je trouve très élégant conceptuellement parlant). Selon les créateurs du jeu, il n'y a pas forcément de chronologie aux Zeldas, suivant l'adage "Every game has a story, only one is a Legend".


Voilà les différents épisodes dans l'ordre de leurs sorties :

The Legend of Zelda (1986) :
J'ai acheté ce jeu, cela a même été mon second jeu NES après Mario/Duck Hunt fourni avec la console. Pourquoi, à 7 ans j'ai choisi d'acheter ce jeu au milieu de la grosse dizaine d'autres en rayons en ce début d'année 1987 : car la boîte et la cartouche du jeu étaient DORÉE (à quoi ça tient la réussite d'un jeu dès fois...).
Parlons du jeu plutôt

LA grosse spécificité du jeu à l'époque : une pile est logée dans la cartouche est permet de sauvegarder son avancée dans le jeu ! (à l'époque, à chaque étape importante d'un jeu, un code plus ou moins long s'affichait à l'écran, il fallait le noter avec ses petites mains pour le resaisir plus tard pour reprendre sa partie).

L'Histoire : on est un jeune homme, Link (qui s'habille en collants verts ) à qui la nourrice de la princesse du coin (Hyrule) vient demander secours car celle-ci vient de se faire enlever. Dans ce monde il existe trois grandes puissances : la Force, la Sagesse et le Courage, chacune symbolisée par une forme triangulaire : un élément de la Triforce (par abus de langage chaque triangle est appelé une Triforce).
Avant de se faire enlever, Zelda détentrice de la Triforce de la Sagesse, voit un bandit (Ganon) s'emparer de la Triforce de la Force. Ayant peur de se faire voler sa Triforce, elle divise celle-ci en 8 petits morceaux triangulaires et les cache dans différents donjons répartis dans le monde, juste avant de se faire enlever. Link est lui-même détenteur de la Triforce du Courage (ba oui c'est pas un bouseux ordinaire quand même).
Votre objectif : réassembler la Triforce de la Sagesse, puis muni de vos deux Triforces aller fesser Ganon et sauver Zelda.

A ce point le jeu commence : écran du début. On a en tout et pour tout un petit bouclier en bois dans les mains.
Sur cet écran on voit tout ce qui fait la spécificité du jeu à l'époque :
- vue au-dessus du héros, qui peut donc se déplacer latéralement et verticalement
- des grottes à explorer
- une carte immense (en haut à gauche, le point vert correspond à l'écran courant, la carte totale du monde faisant 128 écrans)
- possibilité d'accumuler des rubis (pour acheter des objets aux différents marchands que l'on croise dans le jeu), des clefs (pour ouvrir les portes fermées dans les donjons), et des bombes (pour tuer des ennemis ou dégager des passages bloqués)
- possibilité d'assigner un objet secondaire sur le bouton B (le bouton A étant assigné à l'épée dès qu'on en trouve une)
- la vie du joueur est symbolisée par des coeurs qui se vident quand on se fait toucher. On commence avec trois coeurs, mais on peut ramasser des réceptacles de coeur dans le jeu pour augmenter sa force vitale (on trouve des réceptacles entiers sur le gardien de chaque donjon, et des quarts de réceptacles sont disséminés dans le monde extérieur).

Le but du jeu va donc être de trouver les entrées des différents donjons dans le monde extérieur afin de les explorer et d'y retrouver les morceaux de Triforce disséminés dedans.

On peut donc schématiquement diviser le jeu en deux parties :
- le monde extérieur : on y trouve des monstres à chaque écran. Ces monstres une fois tués peuvent être fouillés pour y récupérer des coeurs (pour se refaire une santé), des rubis, des bombes, des flèches.
On peut y trouver des grottes contenant le plus souvent des marchands qui nous vendent des potions de vie, des bombes, des flèches, des boucliers plus performants,..., un jarret de cochon, une bague spéciale.
Ces grottes peuvent aussi renfermer des vieux sages qui nous donnent des indices sibyllins pour poursuivre notre quête ("Derrière la chute d'eau réside le secret" par exemple), quand ce ne sont pas simplement des caches à trésors (rubis le plus souvent), voire même des entrées de donjons. Certaines de ces grottes sont cachées et leurs entrées doivent être dévoilées (au moyen de bombes, en brulant un arbre, par la magie de la musique).
Bien sûr on ne va que progressivement pouvoir visiter le monde entier à mesure que nos possibilités augmentent (par exemple pour sauter une rivière, il faudra attendre d'avoir une échelle à poser par dessus). En extérieur on trouve les objets suivants : l'épée en bois, l'épée en fer, l'épée magique, le grand bouclier, le jarret de cochon, la bague bleue (permet de diminuer tous les dégâts encaissés de moitié), la bougie bleue, la potion rouge

- les donjons : ceux-ci sont tous bâtis sur les mêmes concepts. Ils renferment une carte, une boussole, des petites clés, une grande clé, un objet spécial (au moins), et un gardien à tuer pour récupérer un réceptacle de coeur et le morceau de Triforce. La carte permet d'afficher les pièces du donjon, en distinguant celles déjà visitées.
La boussole permet d'afficher l'emplacement du monstre de fin du niveau. Les petites clés permettent d'ouvrir les portes de communication fermées. La grand clé permet d'ouvrir la porte du gardien. Les objets sont des objets utilisables par Link, qu'il peut assigner le plus souvent au bouton B afin de l'utiliser.
Les objets cachés dans les donjons sont : l'arc, le boomerang, le boomerang magique, l'échelle, le radeau, la flute magique, la baguette de sorcier, le livre d'incantation, la bougie rouge, l'anneau rouge (deux fois plus efficace que l'anneau bleu). Bien sûr chaque pièce des donjons, une fois les ennemis tués dans celle-ci, est souvent l'occasion d'un petit casse-tête pour avancer vers la suivante (mur à détruire, bloc de pierre à déplacer,...).
Le dernier donjon est de loin le plus grand (il est en forme de tête de mort) et chaque pièce représente un défi suffisant pour y mourir (sa musique est particulièrement flippante).

Une fois le jeu fini et Ganon occis (c'est le boss du neuvième et dernier donjon), la seconde quête commence : le monde extérieur est identique mais les grottes et les donjons sont à différents endroits (et les donjons sont plus durs aussi).


Si vous avez une Wii, le jeu est disponible à l'achat sur la Console Virtuelle (à 5€ sans doute). Même aujourd'hui, si vous n'y avez jamais joué, ça vaut vraiment le coup. Les graphismes ne seront pas repoussants, et le challenge est encore là (le jeu sera plus dur qu'un Zelda récent mais rien d'insurmontable avec de l'acharnement, au moins pour la première quête).


Prochainement, un autre épisode de Zelda !

Ce message a été modifié par atarxerxes - 20 Nov 2007, 18:56.

En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square).

Raah la Nintendo 64, pour moi la meilleure console tout catégorie confondue Sinon tu oublies les jeux énormissimes de Rare quand tu dis que seul Nintendo pousse la console dans ses retranchements... GoldenEye, Perfect Dark, Banjo & Kazzoie, Conker, Donkey Kong 64 ou même Jet Force Gemini ... c'est quoi tout ça

Mario Kart 64

Non Mario Kart 64 c'était bien Nintendo , par contre Rare a fait Diddy Kong Racing qui était sympa mais tout de même loin de Mario Kart en multi selon moi
Sinon atarxerxes, tu t'en tires pour cete fois pour Rare Joli travail pour tes descriptions en tout cas

Ce message a été modifié par 00Snake - 20 Nov 2007, 18:12.

Sautons Zelda 2 The Adventure of Link (1988) par trop atypique (il alternait la classique vue du dessus "à la Zelda" quand on était dans le monde extérieur et les vues "à la Mario" dans les villes, les donjons et plus globalement pendant tous les combats. Je l'ai toujours trouvé extrêmement dur, du fait de la rareté des points de sauvegarde).


Et intéressons nous au chef d'oeuvre de la 2D : Zelda 3, A Link to the Past (1992).
Le pitch (je le fais de tête) : en pleine d'une nuit pluvieuse, vous êtes tiré de votre sommeil. Votre père vous dit qu'il a été appelé au château par la princesse Zelda pour une urgence et vous dis de rester au lit. Bien sûr vous le suivez dès qu'il sort. Mais trop tard, il vient de se faire transpercer (ou blesser) par quelque ennemi et vous confie la tâche d'aller vous-même au château, il vous transmet pour cela son épée et son bouclier. Votre quête commence !

Ce jeu est réellement fabuleux et DOIT avoir été joué sous peine de passer pour un inculte.
Il pose les bases de TOUS les Zelda majeurs suivants :
- une double quête : une quête de préparation et la quête principale (et une foultitude de quêtes annexes)
- en liaison avec le point précédent : un double monde, le monde d'Hyrule normal et le monde d'Hyrule dans sa version maléfique
- une dizaine de donjons, ayant chacun sa spécificité, son thème (l'eau par exemple), avec des boss de fin au design léché, avec chacun une stratégie bien précise pour le tuer (bien que souvent facilement assimilable)
- il y a (comme dans le deux) des villages dans Hyrule avec des gens avec qui discuter, qui donnent des indices et des quêtes annexes
- on peut attraper une poule pour la lancer au loin
Link dispose même d'une barre de magie afin de lancer des sorts dévastateurs (mais à l'utilisation très contextuelle en fait)

Il reprend bien sûr les bases du premier Zelda (l'épée et le bouclier qu'on améliore, les armes nouvelles dans les donjons, les quart-de-coeur, un boss par donjon qui donne une récompense à sa mort, les passages secrets dans les murs,...)

Les points principaux de ce jeu :
- la perfection visuelle de la 2D : le jeu est réellement magnifique, coloré comme il faut (seul les deux Zeldas en cell-shading (2005 et 2007 quand même) me semblent "aussi parfaits" visuellement
- une durée de vie extraordinaire
- et pourtant le plaisir et la soif d'avancer sont constants tout au long du jeu
- le design des donjons, sur plusieurs étages, est fabuleux, tout comme les casse-têtes pour les finir sont ingénieux et originaux (par exemple, briser le sol de l'étage supérieur avec une bombe pour faire pénétrer le soleil au rez-de-chaussé afin de démasquer un boss grimé en fille)

Pour moi le meilleur Zelda 2D sur console de salon (cela dit j'ai pas joué à Minish Cap dont tout le monde dit le plus grand bien) et pas loin d'être le meilleur Zelda tout court. Ruez-vous sur la console virtuelle de votre Wii pour l'acheter, vous prendrez plus de plaisir à y jouer qu'avec l'immense majorité des jeux actuels toutes consoles confondues.

Ce message a été modifié par atarxerxes - 1 Dec 2007, 18:36.

Zelda: The Minish Cap ressemble beaucoup à Zelda: The Wind Waker dans l'esprit / ambiance du jeu. Il est pas mauvais du tout, mais je sais pas ce qu'il vaut par rapport à A Link To The Past. Je dois avouer que c'est le tout premier que j'ai joué en entier, je sais je risque de passer pour un inculte De toute manière, le Zelda que j'ai préféré c'est Ocarina of Time, puis Majora's Mask . J'ai du mal à départager Wind Waker et Twilight Princess qui sont aussi tous les deux des chefs-d'oeuvres

En ce jour de l'an, parlons du meilleur Zelda en 3D : Ocarina of Time (1998).
Pourquoi le meilleur? Car il est celui qui innove le plus au niveau des mécanismes de jeu (premier jeu de la série en 3D oblige) et au niveau de l'histoire commune aux différents Zelda.
Le détail de cette mythologie peut être trouvé ici par exemple.

Aujourd'hui le moteur 3D du jeu a vieilli (ce qui peut freiner l'envie d'y jouer) mais ce jeu mérite qu'on se penche dessus car il réserve des moments magiques :
- lorsque Link décide de sortir pour la première fois de sa forêt, on chiale en écoutant ses adieux (il abandonne son enfance)
- la première visite de la plaine d'Hyrule (à l'époque cela semblait immense : il faut au moins dix minutes réelle à pieds pour la traverser de part en part, et elle est entièrement chargée donc entièrement visible à l'horizon quand on pénètre dedans)
- les premières chevauchées sur Epona (la jument de Link) (et quelques sauts épiques en particulier : la sortie du ranch, l'entrée chez les Gerudo)
- la première rencontre de Zelda
- la première fois qu'on se réveille adulte
- le grappin et l'arc en vue subjective, ça change tout
- l'énigme de l'"allumage du soleil" en particulier pour la cinématique poétique accompagnant sa résolution
- jouer de l'ocarina en général
-...

En fait dans ce jeu, on a vraiment l'impression de participer à la construction du mythe de Zelda, et c'est d'autant plus jouissif quand on a d'abord joué aux épisodes précédents comme autant d'histoires déconnectées les unes des autres.
Bref un must have si on est fan de la série, d'autant plus qu'il est disponible sur la console virtuelle de la Wii donc pas besoin de trouver une N64 en état de marche, ou de dénicher l'édition spéciale de Wind Waker sur Gamecube (qui comportait un mini-DVD d'Ocarina of Time avec la version Master Quest pour avoir des donjons plus durs).
C'est encore aujourd'hui pour moi le meilleur Zelda 3D, le plus long, le plus immersif et le plus motivant (mais je ne suis qu'au milieu de Twilight Princess, qui est très bon pour l'instant mais sans la magie de cet épisode; Wind Waker par contre, bien que très beau, était trop pauvre en donjons).



Sinon j'ai déniché une DS édition spéciale Zelda Phantom Hourglass en import (ma première DS, chouette console, beaucoup plus confortable sur de longues périodes que la GBA SP au niveau des boutons L-R). Cet épisode est très bon pour l'instant : au niveau de l'histoire ce serait comme un Wind Waker duquel on aurait gommé les principaux défauts (il y a deux quêtes principales et pas une seule en particulier, le repêchage des trésors ou la navigation dans la mer proposent des challenges continuels), et le fait de le jouer entièrement au stylet et avec un micro permet de renouveler les mécanismes de certaines énigmes, c'est rafraîchissant.
D'ailleurs en cette époque de bilan, il semble décrocher le trophée de meilleur jeu DS de l'année un peu partout.



Enfin je cherche une manette N64 avec un stick analogique en état de marche (car à mon avis on ne verra jamais les jeux Rare sur CV et les émulateurs N64 sont pauvres en jeux émulés sur Mac). Si quelqu'un a ça chez lui... (sinon je chercherai sur ebay, c'est pas pressé).

J'ai joué à Phantom Hourglass pendant ces vacances. Je dois dire que le jeu est très sympathique et les touches sont très comfortables. Mes seuls regrets c'est que le jeu est très facile et quand même court pour un Zelda ( même en essayant de compléter absolument tout ), mais ca reste un must have si on a une DS.

Zelda : the Wind Waker (2003)

Premier Zelda en cel-shading, il s'éloigne des normes habituellement présentes dans presque tous les autres Zelda sur un point principal : le monde est presque entièrement sous l'eau.
En conséquence on ne se déplace plus dans le monde à pied ou à cheval mais grâce à un bateau plus ou moins magique (il sait parler et se foutre de notre gueule à l'occasion). Ce bateau (Lion rouge) étant pourvu d'une unique voile, il faut attendre la bonne direction du vent pour se déplacer (sinon en serrant au près les déplacements deviennent encore plus long qu'une manche de l'America's Cup !). Heureusement on obtient rapidement une flûte magique qui permet de changer l'orientation du vent selon les quatre directions cardinales.
Au début du jeu, Link vit sur une petite île paumée au milieu de l'océan. C'est le jour de son douzième anniversaire, une date importante pour cette communauté car c'est le jour où les petits garçons doivent rendre hommage au héros de la légende qui a sauvé leur monde des dizaines d'années auparavant (dans Ocarina of Time), en revêtant un costume vert.
Malheureusement, Link aperçoit par hasard près de la plage un bateau pirate poursuivi par un énorme oiseau. Cet oiseau parvient à s'emparer de la capitaine des pirates : Terra (une mignonne petite blonde). Grâce à l'insistance de sa soeur, Link va la sauver, mais l'oiseau pour se venger, enlève Arielle (la petite soeur de Link). Il va donc vous falloir parcourir le monde pour la délivrer...
Ce Zelda comporte plusieurs défauts agaçants :
- la longueur des déplacements en mer, du fait de l'utilisation d'un bateau à voile (mais les déplacements en eux-mêmes sont très poétiques (grâce à l'immensité des zones d'eau), on se croirait vraiment perdu en mer, sans parler de la joie de voir apparaître petit à petit une île à l'horizon ou de voir le ciel balayé par un phare la nuit)
- en plus il ne se passe par grand chose quand on est en mer
- de même les trésors sous-marins à récupérer ne présentent aucun challenge, si ce n'est se placer au dessus avant de sortir la grue
- mais le plus gros défaut du jeu est son faible nombre de donjons, ce qui entraîne une durée de vie réduite
Néanmoins le jeu comporte les points forts habituels des Zelda, plus un nouveau : le cel-shading.
Plus qu'un amélioration visuelle, le graphisme volontairement non réaliste mais conforme à un standard bien connu (la BD) est à mon avis le seul qui peut être parfait. En effet le rendu réaliste ne pourra jamais rendre compte de la complexité du monde réel (il n'y a pas de limite au réalisme), donc le rendu obtenu ne pourra jamais être mieux qu'une approximation, de plus en plus fine certes. A côté de ça, le monde cel-shadé est déjà un monde simplifié à taille humaine, dont tout lecteur de BD connaît les symboles, les clés. Représenter parfaitement un tel monde en jeu vidéo est tout à fait réalisable.
C'est pourquoi il se dégage de ce Zelda un sentiment de perfection visuelle et de cohérence. Les vagues, les feux des torches, tout est sublime.
Pour en faire le plus grand Zelda, devant Ocarina of Time, il n'aurait manqué pour moi, qu'une plus longue aventure. Par exemple (attention spoiler!) qu'une deuxième quête, la principale, débute lorsqu'on pénètre dans le vieil Hyrule englouti. Cette quête nous aurait amené à parcourir des donjons situés dans ce Hyrule cel-shadé... Ca me semblait tellement logique en y jouant que l'aventure continue dans ce monde que j'y ai cru jusqu'à l'écran des crédits de fin du jeu avant de me rendre à l'évidence



En parlant de Zelda en cel-shading, je viens de finir (la quête principale de) Zelda : Phantom Hourglass (2007)

Ce jeu est le pendant DS de Wind Waker. On vit dans un monde principalement empli d'eau, avec quelques îlots.
Terra et les pirates, auxquels s'est joint Link, sont à la recherche du bateau fantôme pour s'emparer de ses trésors.
Malheureusement, dès que Terra pose un pied sur celui-ci elle disparaît, une tempête se lève, et Link se réveille sur une plage, à la manière du début de Link's Awakening sur GB.
Votre objectif : retrouver Terra.
Par rapport à Wind Waker, les principaux défauts consécutifs à la navigation maritime ont été corrigés :
- on a désormais un bateau à moteur (on le pilote en traçant la route voulue au stylet)
- les mers regorgent d'ennemis, qu'on doit détruire au canon sous peine de couler
- la récupération des trésors donne lieu à un petit jeu où il faut descendre puis remonter la grue en évitant des mines sous-marines
- un bateau pirate ennemi nous poursuit fréquemment pour nous aborder
Désormais, il n'est plus rébarbatif de se balader en mer donc.
Concernant la durée de vie, qui peut sur cet épisode-ci aussi paraître un peu faible (entre dix et vingt heures pour la quête principale mais avec au moins un quart du temps passé dans le temple principal dans lequel on doit fréquemment revenir), le producteur du jeu a déclaré que c'était voulu (j'essaierai de remettre le lien si je le retrouve) : ce Zelda a été adapté pour les contraintes du jeu sur console portable (courtes mais fréquentes sessions de jeu, monde pas trop grand pour ne pas avoir à retenir trop d'endroits,...). Par exemple on a vu des donjons plus grands que ceux que propose ce jeu (mais heureusement on a cette fois bien une double quête avec donc deux fois plus de donjons).
Ensuite, la contrainte d'être uniquement jouable au stylet a un peu réduit le panel d'objets disponibles, pour ne garder que les plus adaptés à ce style de jeu (boomerang, grappin, ...).
Néanmoins, le gros point fort du jeu au final selon moi, c'est la fraîcheur des combats contre les boss : tous exploitent le double écran. Bien entendu, comme c'est la première fois qu'un Zelda exploite cette caractéristique, toutes les stratégies qui en découlent sont inédites et du coup il faut parfois un peu galérer pour la trouver (alors que d'habitude on arrive devant un boss et on devine son point faible par analogie avec les épisodes précédents). Cela dit les boss sont justes assez faciles pour être vaincus à la limite de ses points de vie lors du premier combat contre eux (en prenant en compte les approximations liées à la recherche de la bonne stratégie).
Bref un bon Zelda pour la lignée cel-shadé.


(attention spoiler Super Smash Bros Brawl) pour les amateurs exclusifs de l'une ou l'autre branche (Link cel-shadé à la Wind Waker versus Link réaliste à la Twilight Princess) vous pourrez définitivement régler vos comptes à l'autre Link dans Super Smash Bros Brawl, vu que les deux seront présents

Fini à l'instant (quête principale seulement) Twilight Princess (2006).

L'histoire : on incarne un apprenti berger nommé Link. Dans son village, depuis quelques temps un singe farceur s'amuse à jouer des tours en dérobant des objets. Un jour les enfants du village se lance à sa poursuite mais disparaissent en forêt. Link s'équipe d'une épée et d'un bouclier, et s'enfonce à leur suite pour les secourir (car le seul "guerrier" du village est à ce moment-là en déplacement à la capitale). Mais Link tombe sur des monstres qu'on ne s'attend pas à trouver dans une forêt. Link décide de sauver les enfants et de découvrir l'origine de ces monstres...
Que dire? Ce jeu constitue sans doute le summum des concepts (introduits par Ocarina of Time) de la licence en 3D. Quand on a dit ça on souligne les forces et les faiblesses de cet épisode :
- c'est un super jeu, long (45h pour moi pour finir la quête principale), intéressant (les donjons donnent vraiment envie de les finir, et ils n'ont pas trop le défaut de nous faire repasser 15 fois à chaque pièce. En plus ils offrent un peu plus de challenge que ceux des derniers épisodes), variés avec des situations nouvelles (donjon dans les airs, combats à cheval, escorte)
- mais il n'innove pas vraiment par rapport à Ocarina of Time (les grosses nouveautés du jeu sont les combats à cheval et la transformation en loup). Les mécanismes de jeu restent identiques (donjons : carte/boussole/clef du maître/demi-boss+objet/boss qui se tue avec l'objet, une première quête à trois objets donc trois donjons plus une seconde quête un peu plus longue)
La grosse déception par rapport à Ocarina of Time pour moi c'est le design du monde (il ressemble un peu à des pièces reliées par des couloirs, on n'a pas trop une sensation de se balader dans un seul et unique monde, certaines zones font vraiment pièces rapportées comme le désert). En plus on n'est pas trop incité à explorer le monde de fond en comble, du coup on y passe plus qu'on y vit (surtout qu'on obtient très rapidement la possibilité de se téléporter). Il y a en plus un léger manque de magie dans la mise en scène des situations clefs de l'histoire, sauf à certaines moments (le western , les combats à cheval, le donjon du temps , le donjon dans les airs, le double grappin...).
Bref ça reste un super jeu, d'autant plus que les jeux d'action-aventure ne courent pas les rues (à part Zelda, y'a Okami (sortie prévue en Août sur Wii d'ailleurs) et quoi d'autre?).

Mais c'est peut-être le moment de faire évoluer les conventions pour les épisodes 3D. Les points faibles actuellement selon moi :
- le monde d'Hyrule fait riquiqui désormais par rapport à d'autres jeux. Là où la plaine d'Hyrule de Ocarina of Time faisait immense pour l'époque, celle de TP fait un peu champ du voisin. En plus le nombre de personnes qui peuplent ce monde est trop faible (1 village de 30 personnes, plus 1 ou 2 villages de 10 bouseux ça ne fait pas très peuplé pour un monde). Bref, peut-être que comme un Final Fantasy, le monde, au lieu d'être un petit lieu clos, doit plus être un très large couloir, enchaînant les villages et les donjons (en tout cas ça permet de donner l'impression d'un monde gigantesque plus facilement)
- la formule des donjons doit peut-être évoluer elle aussi, pour relancer un peu l'intérêt et la découverte dans les donjons

Enfin je fais confiance à Eiji Aonuma. S'il a été capable de pondre Majora's Mask, il doit être capable de renouveler la licence si le besoin s'en fait sentir (enfin si Miyamoto lui laisse les mains libres).

[edit]J'ai oublié d'en parler mais un très gros point fort du jeu (surtout vers la fin) c'est la technique de combat à l'épée (à la Wii c'est jouissif, je sais pas ce que ça donnait sur GC). C'est presque aussi technique que Link dans Soul Calibur quand on a appris tous ses coups spéciaux.

Ce message a été modifié par atarxerxes - 2 Mar 2008, 20:08.

personellement je l'ai trouvé assez court twilight princess ( j'étais à 35h en faisaitn un peu de tout et en oubliant d'éteindre la console la nuit parfois etc.. ) , surtout comparé à windwaker ( je l'ai jamais fini ) ou OOT ( non plus , enfin je l'ai jamais eu )
sinon, si on agrandissait la plaine, déjà que ça me saoûlait de là traverser.. ( un peu comme les voyages en bateau dans windwaker, sympa au début, mais à la longue... )
je suis complètement d'accord pour les combats, tous les coups qu'on à ( je les ai oubliés depuis malheuresement, je l'avais fini cet été ).. sur gamecube, même si il y avait différents coups , j'avais l'impression que ça revenait souvent à appuyer sur A en masse ( j'ai dit souvent hein, pas tout le temps non plus )

Pourtant Windwaker est très court (très peu de donjons) (mais c'est vrai qu'il propose pas mal de quêtes secondaires). Concernant le lieu de l'aventure, si on veut garder les dimensions actuelles, il faut que ça se déroule dans une province éloignée du royaume (comme Majora's Mask par exemple) mais si c'est le centre du royaume ça perd en crédibilité.

Enfin, maintenant je vais pouvoir passer aux jeux suivants que j'ai en attente (Mario Galaxy / Metroi Prime 3 / Zack & Wiki / Assassin's Creed / DMC 4 et vite car No More Heroes arrive à grand pas ).

Annonce de la Nintendo 3DS :


Console avec effet 3D sans besoin de lunettes spéciales visiblement, plus d'infos à l'E3 de cette année.

Ce message a été modifié par atarxerxes - 23 Mar 2010, 09:02.

Si c'est juste un "effet 3D" grace à un accéléromètre ...

Humhum ...

Dernières rumeurs :
- deux écrans tactiles 4" environ (un peu plus petits que la DSi XL)
- un stick et pas de D Pad
- accéléromètre
- bonne autonomie
- pas de Tegra (la puce NVidia)

Confirmé :
- effets 3D sans accessoires
- jouable par le public à l'E3
- sortie avant Mars 2011

- passer 10 jours en compagnie d'un des 5 cinq plus grands collectionneurs Nintendo au monde ( http://www.musee-nintendo.com/ ) : ok
- rencontrer et discuter avec Florent Gorges ( http://editionspixnlove.fr/ ) : ok
- partager un repas avec le créateur de Wario et Samus : ok
- partager un repas avec le créateur de Mario Kart : ok
- partager un repas avec le producteur actuel des Zelda : ok