Donc retour sur cette après-midi de vendredi.
Déjà on s'est loupé avec Louis mais finalement c'est préférable, par pour toi Louis mais il y a tellement de monde qu'il devient impossible de circuler sans se perdre.
Grosse déception, je m'attendais à mieux, avec les 50 000 m2 en plus annoncés en fanfare, ça n'a pas amélioré le flux et l'ambiance.
En fait, tous les grands exposants sont une succession de boites fermées à l'intérieur du salon où les queues pour y rentrer sont tellement interminables
que tu fais demi-tour. Même moi qui rentre sans attendre, ça ne m'a pas donné envie.
En plus si c'est juste pour voir des gens jouer ou des trailers, internet le fait dans de meilleurs conditions.
Je suis déçu de ne plus voir, comme dans les années précédentes, depuis le Festival du jeu vidéo en 2010, le calendrier de conférences, sur les métiers du jeu vidéo par exemple,
ou ces autres ces minis conférences, ouvertes sur les allées, des développeurs interviewés prenaient les manettes, montraient quelques séquences des futurs jeux,
des nouvelles technologies, l'interaction avec le visiteur et des acteurs du jeu, quelques fauteuils devant, tu passais, tu t'arrêtais, tu écoutais (ou pas).
Aujourd'hui les scènes accessibles, c'est juste du n'importe quoi, ça gueule, ça balance des goodies, bref tu n'apprends rien, t'es juste là à sauter ou gueuler plus fort que ton voisin ... à quoi bon ?
Alors il reste le côté eSport avec l'ESWC que j'apprécie particulièrement aussi pour l'ambiance des matchs.. mais là aussi je n'ai pas compris pourquoi l'avoir disposé ainsi cette année ?
Certes plus grande scène mais deux petits écrans avec deux gros piliers juste en face pour ceux qui ne pouvaient s'assoir.
Bon ok, j'étais peut-être mal luné ce vendredi mais j'ai un doute sur ma prochaine fois au PGW si les organisateurs ne changent pas leur façon de penser un vrai salon.
Je tenterai la soirée presse mais pas mieux.
Ah ! la bonne époque