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#1
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![]() Marathon Man Groupe : Ancien de la Team Messages : 10953 Inscrit : 20-Nov-04 Lieu : Paris, XIe Membre n° 160 Section(s) : FPS • FdV ![]() |
Devant l'inculture de certains (
![]() Entreprise fondée en 1889, à l'origine productrice de jeux de cartes japonais, elle s'est lancée dans le jeu vidéo au début des années 1980 avec le (la) Nintendo Entertainment System (Famicom en japonais). Cette console a été présente dans un foyer américain et japonais sur trois (!) à la fin des années 80. Elle représente alors 90% du marché des consoles de salon. En 1989, sort la GameBoy accompagnée d'un jeu légendaire : Tetris (jeu dont Nintendo a obtenu les droits à cette époque, Tetris depuis appartient à Nintendo). Opposée à des consoles aux meilleures performances (puissance, couleurs) mais lourdes, sans autonomie et chère, la GameBoy s'impose facilement. En fin de carrière la Game Boy s'est vendue à 110 millions d'exemplaire dans le monde environ (la console la plus vendues de tous les temps étant la PS2 avec 120 millions). En 1990 sort la Super Nintendo (Super Famicom). Après un départ difficile, elle parvient à dominer le marché grâce à Super Mario Bros. 3 (15 millions de jeu vendus) et grâce à sa supériorité technique sur ses concurrentes (le Mode 7 qui permet de gérer facilement des plans 2D qui s'intersectent, pour simuler une pseudo 3D : F-Zero en est le parfait exemple). Une extension avec lecteur CD-Rom fabriquée par Sony est annoncée, mais Sony se montrant trop gourmand aux yeux de Nintendo cette extension est annulée (elle sera à la base de la PlayStation). Certains jeux intègrent même un processeur spécialisé afin de fournir des jeux réellement en 3D polygonale : Star Fox. A la sortie de la PlayStation, la Super Nintendo a environ 75% du marché des consoles de salon. En 1996, avec deux ans de retard sort la Nintendo 64, issue de la collaboration entre Nintendo et Silicon Graphics. Super puissante face à la PlayStation, mais souffrant de goulots d'étranglement la rendant difficile à programmer (contrairement à la console de Sony, plus homogène au niveau de ses composants et extrêmement facile à développer), seul Nintendo et ses studios ont réellement réussi à la pousser dans ses retranchements. Sa manette révolutionne ce qui se fait à l'époque avec un stick analogique et un rumble pack (ressenti des vibrations dans la manette). Mais le marché est désormais dominé par Sony, qui récupère de nombreux éditeurs exclusifs Nintendo par le passé (le plus important pour le marché japonais étant Square). Evènement imprévisible en 1997 : Nintendo sort un petit RPG Pocket Monster qui s'arrache dans le monde entier, booste la vente de la GameBoy et fournit une sorte de rente depuis à Nintendo lui permettant de réaliser chaque année des bénéfices records même lorsque ses consoles de salon sont des demi-échecs. En 2001 sort la Game Boy Advance, qui succède à la Game Boy et ses différentes variations. En 2001 également sort la GameCube, qui marque la fin des cartouches (trop chères à produire et trop exigües) sur console de salon. Les jeux les plus vendus sur cette console sont : Animal Crossing, et surtout Super Smash Bros Melee (jeu de combat où le but est de faire tomber l'adversaire de la plate-forme) qui se vend à presque 7 millions d'exemplaires dans le monde. Fin 2004 sort la DS, qui "tue" la Game Boy Advance mais permet de répondre à la sortie de la console portable de Sony : la PSP. Caractéristique principale de cette console portable : deux écrans dont un tactile, pilotable au stylet. Ceci permet de concevoir des jeux et des logiciels complètement inédits. Elle embarque également une puce Wifi pour le jeu à plusieurs. En Janvier 2006, Nintendo sort une version relookée parfaite de la DS : la DS lite. Elle sort avec New Super Mario Bros, version relooké des premiers Mario Bros (ce jeu vient de dépasser les 5 millions d'exemplaires vendus dans le monde). Le 8 Décembre 2006 sort la Wii. Compatible avec les jeux Game Cube, et offrant la possibilité d'acheter une palanquée d'anciens jeux (NES, SNES, N64, Megadrive, Commodore 64, ...) sur la Console Virtuelle (boutique en ligne), sa principale caractéristique est sa manette. "Elle se présente sous la forme d'une télécommande. C'est un engin de pointage qui détecte les mouvements. Cette manette peut interpréter les déplacements diagonaux, d'éloignement et de rapprochement, ainsi que les rotations. Elle contient aussi un haut-parleur et un vibreur. Des extensions peuvent être attachées à la manette, comme un joystick (appelé « nunchuk », qui détecte aussi les mouvements) et qui est vendu avec la console." Aujourd'hui les consoles Nintendo encore en vente sont : - la DS Lite : 55 millions de consoles vendues, 67% du marché des consoles portables - la Wii : 14 millions de consoles vendues, 42% du marché des consoles de salon Ce message a été modifié par atarxerxes - 19 Nov 2007, 23:45. -------------------- Ordis: iPad 2 16Go 3G ; MacbookAir 11" Core i7 2GHz 8 Go RAM SSD128Go + Dell 2405FPW; Mini C2D2.0GHz media center / Accessoires: Wii , XBox360, PS3, 3DS, iPhone 4 / Télé: Numericable HD Box -> Samsung LE32R51B + Denon AVR-3808 + 5.0 Triangle
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(sources : wikipedia, le palais de Zelda, puissance-Zelda, nintendo forever)
LE jeu d'action-aventure, avec un poil de RPG (évolution du personnage) mais sans les combats chiatiques à la FF : The Legend of Zelda (ゼルダの伝説) Créateur : 先制 Shigeru Miyamoto. La série est composée de 12 épisodes à la chronologie aléatoire (c'est-à -dire qu'elle ne correspond pas à l'ordre de sortie des jeux). Voilà une proposition intéressante de chronologie globale des différents Zelda sortis : ![]() Voilà les différents épisodes dans l'ordre de leurs sorties : The Legend of Zelda (1986) : J'ai acheté ce jeu, cela a même été mon second jeu NES après Mario/Duck Hunt fourni avec la console. Pourquoi, à 7 ans j'ai choisi d'acheter ce jeu au milieu de la grosse dizaine d'autres en rayons en ce début d'année 1987 : car la boîte et la cartouche du jeu étaient DORÉE (à quoi ça tient la réussite d'un jeu dès fois...). Parlons du jeu plutôt ![]() LA grosse spécificité du jeu à l'époque : une pile est logée dans la cartouche est permet de sauvegarder son avancée dans le jeu ! (à l'époque, à chaque étape importante d'un jeu, un code plus ou moins long s'affichait à l'écran, il fallait le noter avec ses petites mains pour le resaisir plus tard pour reprendre sa partie). L'Histoire : on est un jeune homme, Link (qui s'habille en collants verts ![]() Avant de se faire enlever, Zelda détentrice de la Triforce de la Sagesse, voit un bandit (Ganon) s'emparer de la Triforce de la Force. Ayant peur de se faire voler sa Triforce, elle divise celle-ci en 8 petits morceaux triangulaires et les cache dans différents donjons répartis dans le monde, juste avant de se faire enlever. Link est lui-même détenteur de la Triforce du Courage (ba oui c'est pas un bouseux ordinaire quand même). Votre objectif : réassembler la Triforce de la Sagesse, puis muni de vos deux Triforces aller fesser Ganon et sauver Zelda. A ce point le jeu commence : écran du début. On a en tout et pour tout un petit bouclier en bois dans les mains. Sur cet écran on voit tout ce qui fait la spécificité du jeu à l'époque : - vue au-dessus du héros, qui peut donc se déplacer latéralement et verticalement - des grottes à explorer - une carte immense (en haut à gauche, le point vert correspond à l'écran courant, la carte totale du monde faisant 128 écrans) - possibilité d'accumuler des rubis (pour acheter des objets aux différents marchands que l'on croise dans le jeu), des clefs (pour ouvrir les portes fermées dans les donjons), et des bombes (pour tuer des ennemis ou dégager des passages bloqués) - possibilité d'assigner un objet secondaire sur le bouton B (le bouton A étant assigné à l'épée dès qu'on en trouve une) - la vie du joueur est symbolisée par des coeurs qui se vident quand on se fait toucher. On commence avec trois coeurs, mais on peut ramasser des réceptacles de coeur dans le jeu pour augmenter sa force vitale (on trouve des réceptacles entiers sur le gardien de chaque donjon, et des quarts de réceptacles sont disséminés dans le monde extérieur). Le but du jeu va donc être de trouver les entrées des différents donjons dans le monde extérieur afin de les explorer et d'y retrouver les morceaux de Triforce disséminés dedans. On peut donc schématiquement diviser le jeu en deux parties : - le monde extérieur : on y trouve des monstres à chaque écran. Ces monstres une fois tués peuvent être fouillés pour y récupérer des coeurs (pour se refaire une santé), des rubis, des bombes, des flèches. On peut y trouver des grottes contenant le plus souvent des marchands qui nous vendent des potions de vie, des bombes, des flèches, des boucliers plus performants,..., un jarret de cochon, une bague spéciale. Ces grottes peuvent aussi renfermer des vieux sages qui nous donnent des indices sibyllins pour poursuivre notre quête ("Derrière la chute d'eau réside le secret" par exemple), quand ce ne sont pas simplement des caches à trésors (rubis le plus souvent), voire même des entrées de donjons. Certaines de ces grottes sont cachées et leurs entrées doivent être dévoilées (au moyen de bombes, en brulant un arbre, par la magie de la musique). Bien sûr on ne va que progressivement pouvoir visiter le monde entier à mesure que nos possibilités augmentent (par exemple pour sauter une rivière, il faudra attendre d'avoir une échelle à poser par dessus). En extérieur on trouve les objets suivants : l'épée en bois, l'épée en fer, l'épée magique, le grand bouclier, le jarret de cochon, la bague bleue (permet de diminuer tous les dégâts encaissés de moitié), la bougie bleue, la potion rouge - les donjons : ceux-ci sont tous bâtis sur les mêmes concepts. Ils renferment une carte, une boussole, des petites clés, une grande clé, un objet spécial (au moins), et un gardien à tuer pour récupérer un réceptacle de coeur et le morceau de Triforce. La carte permet d'afficher les pièces du donjon, en distinguant celles déjà visitées. La boussole permet d'afficher l'emplacement du monstre de fin du niveau. Les petites clés permettent d'ouvrir les portes de communication fermées. La grand clé permet d'ouvrir la porte du gardien. Les objets sont des objets utilisables par Link, qu'il peut assigner le plus souvent au bouton B afin de l'utiliser. Les objets cachés dans les donjons sont : l'arc, le boomerang, le boomerang magique, l'échelle, le radeau, la flute magique, la baguette de sorcier, le livre d'incantation, la bougie rouge, l'anneau rouge (deux fois plus efficace que l'anneau bleu). Bien sûr chaque pièce des donjons, une fois les ennemis tués dans celle-ci, est souvent l'occasion d'un petit casse-tête pour avancer vers la suivante (mur à détruire, bloc de pierre à déplacer,...). Le dernier donjon est de loin le plus grand (il est en forme de tête de mort) et chaque pièce représente un défi suffisant pour y mourir (sa musique est particulièrement flippante). Une fois le jeu fini et Ganon occis (c'est le boss du neuvième et dernier donjon), la seconde quête commence : le monde extérieur est identique mais les grottes et les donjons sont à différents endroits (et les donjons sont plus durs aussi). Si vous avez une Wii, le jeu est disponible à l'achat sur la Console Virtuelle (à 5€ sans doute). Même aujourd'hui, si vous n'y avez jamais joué, ça vaut vraiment le coup. Les graphismes ne seront pas repoussants, et le challenge est encore là (le jeu sera plus dur qu'un Zelda récent mais rien d'insurmontable avec de l'acharnement, au moins pour la première quête). Prochainement, un autre épisode de Zelda ! Ce message a été modifié par atarxerxes - 20 Nov 2007, 18:56. -------------------- Ordis: iPad 2 16Go 3G ; MacbookAir 11" Core i7 2GHz 8 Go RAM SSD128Go + Dell 2405FPW; Mini C2D2.0GHz media center / Accessoires: Wii , XBox360, PS3, 3DS, iPhone 4 / Télé: Numericable HD Box -> Samsung LE32R51B + Denon AVR-3808 + 5.0 Triangle
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